Les conditions d’intégration d’une logique de coût global dans l’achat public
Mis à jour le 14 mars 2019
Ce « rapport d’expertise » a été réalisé en 2018 par Audrey Ferreira, étudiante à Sciences Po Lille, dans le cadre d’une convention avec l’Observatoire Régional de la Commande Publique (ORCP HDF). Il a été mené sous la supervision de F. Benchendikh (ScPo Lille), C. Ducrocq (CD 62, GT performance économique de l’achat de l’ORCP) et A. Goxe (Cerdd, GT clauses environnementales de l’ORCP).
L’acheteur public a la mission d’utiliser de la manière la plus optimale possible les deniers publics. L’intégration d’un coût global au sein des achats publics est au cœur de cet enjeu d’optimisation.
Nous avons défini le coût global comme l’ensemble des coûts de conception, de construction, d’exploitation, de maintenance et de fin de vie. Ce périmètre du coût global a l’avantage d’être monétisable grâce au « coût du cycle de vie ».
A plus long terme, l’objectif est d’aller vers un « coût global étendu », qui inclut les externalités sociales et environnementales :
- La première partie de l’étude est dédiée à l’analyse théorique du coût global (son calcul et son outil, le coût du cycle de vie). Elle n’omet cependant pas l’analyse du cycle de vie (ACV), comme outils permettant d’aller vers ce « coût global étendu ».
- La deuxième partie dévoile les enjeux, solutions et bonnes pratiques quant à l’intégration du coût global.
- La troisième partie propose quatorze recommandations, dont neuf regroupées dans la même section : « Assimiler l’acte d’achat à un projet ». Prendre en compte le coût global revient à repenser la fonction de l’acheteur. Ces neuf recommandations se réfèrent aux outils à la disposition de l’acheteur public, mais dont il n’a parfois pas la connaissance.
Rapport sur l'intégration du coût global dans l'achat public - A Ferreira Sc Po Lille Orcp
Identification
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Auteur :
Audrey Ferreira, Sciences Po Lille
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Taille du document :
80 p
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Échelle géographique :
Régionale