Aurore COLSON

Racontez-nous votre histoire avec le Cerdd

Quand et comment avez-vous rencontré le Cerdd ?

Il y a... 20 ans ! Je travaillais pour Philippe Rapeneau, alors conseiller régional et engagé sur les sujets de développement durable, ce qui était plutôt précurseur au sein de sa famille politique. Les ressources du Cerdd ont été précieuses pour aiguiser les consciences avec pédagogie.

En 20 ans, le Cerdd a grandi, quel regard portez-vous sur son évolution ?

Avant tout, le Cerdd a permis de faire grandir les consciences et l'intelligence collective. Il reste encore du chemin à parcourir mais l'équipe du Cerdd a donné à comprendre les enjeux de développement durable et les enjeux actuels des transitions.

Et puis, le Cerdd a réussi le pari d'étendre son action vers l'Aisne, l'Oise et la Somme pour ainsi faciliter le passage à l'action sur l'ensemble des Hauts-de-France.

Pouvez-vous citer un souvenir fort vécu avec le Cerdd, une anecdote ?

Le Cerdd, ce sont des rencontres, des échanges, des moments de partage, autant de moments forts qui nous font avancer et qui permettent aux projets de se réaliser.

Et à titre personnel, c'est avec émotion que j'ai eu l'honneur d'assurer la Présidence du Cerdd pour la Région Hauts-de-France et qui plus est à la demande de Philippe Rapeneau.

Votre ressource préférée du Cerdd ?

Sans hésitation : les AmbassadeursDD. Ce sont autant de parcours, de témoignages et d'engagements qui rendent les transitions concrètes et réalistes pour tous, collectivités, entreprises et citoyens.

Le Cerdd dans 20 ans, à quoi ça ressemblera selon vous ?

Les raisons d'être du Cerdd il y a 20 ans seront toujours présentes en 2041. Il reste encore tellement à faire ! De manière différente, très certainement, et avec des enjeux nouveaux sans aucun doute. Mais on peut compter sur l'équipe – renouvelée car il n'y a pas que le Cerdd qui grandit ! –  pour poursuivre le travail avec agilité et élargir son champ de compétences.

Tirez le portrait chinois du Cerdd !

Si le Cerdd était... :

• Une chanson... il serait « L'effet papillon » de Bénabar, parce que chacun de nos actes aura une incidence.
• Un plat... il serait une flamiche aux poireaux et au Mar
oilles accompagnée d'un jus de pomme ou d'une bière locale.
• Un animal... il serait une abeille qui pollinise les initiatives.
• Un personnage de fiction... il serait 
Le Petit Prince pour la mise en récit.
• Un hashtag... il serait #engagement.